Marseille – Samedi 26 avril 2014

Marseille, samedi 26 avril 2014, 14h00, Vieux-Port (Quai de la Fraternité)

LIBÉREZ LES ANIMAUX DES LABORATOIRES MARSEILLAIS !

L’enfer du décor des laboratoires marseillais révélé au public

Dans le cadre de la campagne MARSEILLE CONTRE LA VIVISECTION, l’ALARM souhaite inscrire la première action de terrain dans le contexte de la Journée Mondiale des Animaux dans les Laboratoires MANIFESTATION STATIQUE / HAPPENING CHOC / Mise en scène avec reproduction de scènes de crimes

Evénément Facebook ici.

Contexte : Institut de Neurosciences de la TIMONE… Il y a peu de temps, nous apprenions l’inauguration (octobre 2013) d’une nouvelle animalerie d’une superficie de 1000 m2 implantée au sein du campus du CNRS de Joseph Aiguier, en plein cœur de Marseille. Cette animalerie détient captifs des animaux (rongeurs et primates non humains (babouins et macaques)) destinés à l’expérimentation animale, grandissant ainsi une « plateforme » déjà constituée par une première animalerie installée dans l’enceinte du CHU de la Timone et d’une station de primatologie dont les babouins et macaques captifs sont élevés et destinés à alimenter en cobayes vivants les deux animaleries sus-citées (mais également des laboratoires privés).

Communiqué important : l’action du 26 avril 2014 organisée par l’ALARM est une manifestation statique qui aura lieu au seul Vieux Port (Quai de la Fraternité) et sera déclarée comme telle en préfecture. Certaines personnes ont décidé de se rendre dans un deuxième temps devant l’hôpital de la Timone et ont créé à cet effet leur propre événement sur les réseaux sociaux. L’ALARM se désolidarise totalement de cette dernière initiative (ou de toute autre), au cours de laquelle la responsabilité de notre association ne saurait être engagée à aucun moment. L’ALARM invite les personnes qui souhaitent organiser une telle action à déclarer en préfecture leur propre manifestation, et les participant-e-s à prendre leurs responsabilités. Par ailleurs, nous ne croyons pas que manifester devant un hôpital (en y bloquant éventuellement les accès) soit une bonne idée. Au contraire, nous pensons que « prendre en otage » les allers et venues des malades, des familles et de leurs sentiments (pour certains douloureux) de l’instant, pourrait être bien plus contre-productif que bénéfique à notre lutte.

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