Mauvaise volonté et reculade : en Belgique seulement ?
La Belgique ne se donne pas les moyens de faire reculer la vivisection.
Un autre article (de GAIA) sur le sujet ici.
Difficile de croire qu’elle est le seul pays hypocrite…
IC ⋅ Infos ⋅ Stop aux Animaux dans les Labos ⋅
La Belgique ne se donne pas les moyens de faire reculer la vivisection.
Un autre article (de GAIA) sur le sujet ici.
Difficile de croire qu’elle est le seul pays hypocrite…
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Article recopié du site Initiative Citoyenne
Voici un témoignage émouvant, celui de Rachel Celli, maman de Laetitia, qui a eu la gentillesse et le courage de nous faire parvenir ce témoignage sur la suite du parcours de sa fille. Un témoignage qui démontre de façon cruelle le peu d’égards qu’on réserve aux victimes de cette propagande, hélas bien huilée:
Bonjour à tous,
J’ai reçu les conclusions finales de la commission qui devait statuer après l’expertise demandée par la CRCI au sujet de notre demande d’indemnisation.
Le résultat est bien sûr sans surprise, même s’il me dégoûte au plus au point.
La commission dit : « Puisque le lien avec le Gardasil n’est pas explicitement confirmé, malgré la chronologie des faits, la demande est rejetée ».
Il faut tout de même savoir qu’il est très difficile d’affirmer à 100% que le Gardasil est responsable et que la soixantaine de médecins et professeurs consultés n’ont jamais voulu prendre cette décision. Le doute profite donc au laboratoire comme on pouvait le prévoir, puisque c’est à nous victimes d’apporter la preuve du fait que nous soyons victimes.
Il est intéressant de constater que si un français empoisonne son voisin, il va directement en prison et paye des dommages, alors que les labos, eux, empoisonnent nos enfants avec la bénédiction des instances de l’état, et bien sûr sans verser aucune indemnisation aux victimes.
On peut parler d’empoisonnement, puisque ce vaccin contient de l’aluminium, très controversé en ce moment, et du BORAX interdit par la réglementation Européenne puisque considéré comme toxique, et dont les emballages doivent comporter la tête de mort.
Je reviens sur l’expertise que ma fille a subie et qui m’a appris plusieurs choses :
La première, c’est qu’il est inutile de consulter des cardiologues, gastro, gynéco, pneumo, neuro, psy, rhumato, et autres grands professeurs, car les experts sont des gens qui, en fait, sont tout ça à la fois. J’explique: un neurologue et un pharmacologue, déguisés en experts, se sont évertués pendant plus d’une heure à démonter point par point tous les examens de tous les médecins cités plus haut. Ces experts se sont uniquement basés sur les documents fournis par le labo, et ne semblaient pas du tout intéressés par les informations que je détenais. Ils ne voulaient absolument pas en entendre parler.
Alors qu’un psy avait affirmé que ma fille ne présentait aucun syndrome d’anxiété ni de dépression et qu’un suivi psy ne servait à rien, ces deux experts, eux, ont écrit sur leur rapport que ma fille était dépressive et que son état relevait d’un suivi psy ; et tout ça en un peu plus d’une heure. Ces gens sont vraiment SURNATURELS !
Ils détiennent un pouvoir fantastique, incroyable et sont capables de se substituer à n’importe quel médecin et poser un diagnostic irréfutable.
La deuxième chose, c’est que la France est divisée en 2 catégories de personnes : les médecins très, très intelligents et les autres, vous et moi, les débiles.
Explication : les experts examinent les pieds de ma fille : oui, oui, elle à une voûte plantaire creuse ???? Commentaire de l’expert : » ah, elle a les pieds creux, c’est bon, on arrête là, c’est neurologique… Je pose une question : « et ça veut dire quoi? »
Réponse : « On ne va pas vous faire un cours de médecine, vous ne comprendriez rien!!! »
Voilà, je ne suis pas médecin, donc je suis débile!!!!!!! Comme tous les gens qui ont les pieds creux. Ce qui m’amène à une réflexion : dans l’armée, étaient refusés tous les hommes qui avaient les pieds plats, donc ils étaient sûrement trop intelligents pour obéir bêtement aux ordres, ceci explique sûrement cela !
La troisième chose : les experts me disent : » Franchement presque 2 millions de gamines ont été vaccinées avec le Gardasil et seulement 2 d’entre elles se disent victimes, ce n’est pas sérieux et ça n’aboutira pas ». Exact.
Depuis juillet, je n’ai pas arrêté de témoigner sur diverses chaînes de télévision, dans des tas de journaux, à la radio pour informer les gens, réveiller les consciences. J’ai passé des heures à répondre au téléphone à certains d’entre vous et à d’autres qui ne m’ont pas laissé leur adresse mail, et quand j’ai envoyé des journalistes vous contacter pour avoir d’autres témoignages et ainsi être plus crédible, ces journalistes sont revenus vers moi en me disant que personne ne voulait témoigner. Je vous comprends, car depuis toute cette médiatisation je n’arrive plus à me faire soigner. Mais nous ne sommes pas crédibles si nous ne sommes que 4 ou 5 à faire parler du Gardasil ; il faut qu’il y ait d’autres témoignages, que les médecins et l’état se rendent compte de l’ampleur du carnage. A un moment, il faut arrêter d’avoir peur ou honte, de se cacher derrière les autres en attendant de voir ce qui va se passer, et il faut avoir le courage de s’élever contre toute cette machination très bien huilée qui consiste à dire : » Pour en sauver des centaines, il faut bien qu’il y ait un pourcentage de pertes ». Oui, cette phrase, des professeurs et médecins me l’ont dite, en rajoutant : « Vous, vous n’avez pas de chance ! » Voilà, ma fille fait partie d’un pourcentage de pertes acceptables, ni plus ni moins et je dois faire avec… !
Nous avons eu une vie avant le Gardasil et depuis plus de 4 ans nous avons une autre vie, qui tourne autour du Gardasil. J’ai dû arrêter de travailler pour m’occuper de ma fille, la trimbaler à travers toute la France pour diverses consultations, examens, biopsies, opérations… Tout cela a pris du temps, de l’énergie et beaucoup d’argent, car les frais de carburant, les billets de trains, les frais d’hôtel, les repas, les parkings, les autoroutes ne sont pas remboursés par la sécurité sociale. Notre vie de famille s’en est trouvée toute retournée, ainsi que notre vie sociale. Ma fille aujourd’hui n’a toujours pas de diagnostic posé, personne ne comprend ses crises de paralysie, de tremblements, ses nausées quotidiennes avec ses fièvres, ses bouffées de chaleur, ses névralgies, ses douleurs pelviennes, ses syncopes, personne ne propose de traitement. Pendant ce temps là, a 21 ans, elle doit composer avec tout cela, ne peut pas se rendre en fac plus de 2 h par jour, car elle est extrêmement fatiguée par des douleurs dans les jambes ; elle ne peut plus conduire ; je dois l’accompagner quand elle veut faire des courses, car le bruit et la lumière lui donnent des vertiges, elle ne peut pas accompagner ses amies dans des fêtes ou au cinéma, comme tous les jeunes de son âge, et je ne sais même pas si elle sera un jour capable de travailler et de subvenir à ses besoins.
Notre avocat n’a pas souhaité continuer à s’occuper du dossier, et peu d’avocats veulent bien le faire. Je vais donc me refaire une santé financière pour demander une contre expertise et relancer l’affaire.
Il serait souhaitable que beaucoup de victimes commencent à faire parler d’elles par voix de presse pour qu’enfin la population, les médecins et nos instances de l’état prennent pleinement conscience du problème. Nous avons été seulement 5 à témoigner et ce n’est pas suffisant, tant que nous n’organiserons pas un mouvement d’ampleur, nous serons discrédités. C’est seulement le nombre qui fera en sorte que nous soyons crus et écoutés.
Pendant que nous sommes là à attendre bien sagement dans notre coin, muselés comme il faut, d’autres gamines se font vacciner en ayant l’illusion que ce vaccin est magique et qu’elles n’auront pas de cancer du col de l’utérus, sans connaître les dangers de l’aluminium et du borax.
L’information ne circule que très mal, pour preuve : quand on me pose des questions dans ma ville et que j’informe sur le borax, on me regarde avec des yeux ronds en me répondant : « Ce n’est pas un poison, sinon Xavier Bertrand n’en aurait pas autorisé le remboursement » et quand je parle des 2 ans et demi d’essais cliniques seulement », on me répond la même chose.
Voilà comment l’état permet au labo de continuer à s’enrichir. Le peuple part du principe que l’état le protège et que si l’état autorise un produit, c’est qu’il est sans danger….alors quand on apprend à ce même peuple que le ministre a autorisé le remboursement quelque mois avant la décision de l’AMA, censé lui nous protéger, ce même peuple, ne le croit absolument pas.
Nous n’avons aucune chance de redonner la vue à des gens qui ne veulent pas voir.
Dans quelques semaines, on va me demander d’aller voter, d’élire un personnage qui devra avant tout nous gouverner et nous protéger, qui sera payé par nos impôts, et qui continuera sa formidable protection comme ses prédécesseurs l’ont fait, avec le sang contaminé, l’hépatite B, l’affaire Tchernobyl (je vous rappelle qu’ils nous ont pris pour des andouilles en nous assurant que les nuages n’avaient pas passé la frontière française), le médiator interdit depuis 10 ans en Allemagne, mais sans danger pour les français, les prothèses PIP et bientôt une affaire de prothèses de hanches… Comment ne pas penser à cet expert me faisant comprendre que j’étais débile, bien sûr ! Nous avalons toutes les couleuvres qu’ils nous envoient sans sourciller. Comment pourrait- il en être autrement d’ailleurs…
Le jour de l’expertise, j’ai gagné en intelligence, et tout ce que je vois aux informations est décortiqué et analysé. Et non, je ne les crois plus !
Je suis obligée de payer mes taxes et impôts qui vont bien sûr faire vivre confortablement tous ces gens qui nous gouvernent, mais il n’est pas question que je le fasse sans réagir. Toutes les lois votées ne sont pas faites pour nous protéger mais uniquement pour les protéger eux.
Pour preuve, une chose qui s’est passée cet été, interdisant aux victimes d’un médicament de s’attaquer au labo si elles sont victimes d’un effet indésirable marqué sur la notice. Regardez un peu la liste des effets indésirables du Gardasil et prenez conscience de cette loi ! Aucune victime ne pourra plus s’élever contre le labo, et cela à été pondu après la médiatisation des affaires Médiator et Gardasil, donc : bonne chance à tous !
J’ai voulu surprotéger mes enfants et j’ai donc été punie. A trop vouloir, on finit par ne plus rien avoir, et c’est bien vrai.
Pendant l’expertise, un des experts m’a dit cette phrase « MAIS MADAME, CE N’EST PAS LE LABORATOIRE QUI VOUS A OBLIGEE A FAIRE CE VACCIN SUR VOTRE FILLE, C’EST VOUS QUI AVEZ PRIS CETTE DÉCISION, VOUS N’AVEZ QU’A VOUS EN PRENDRE A VOUS MÊME. »
Et oui, personne ne nous a forcées à faire ce vaccin… Un peu facile tout de même…
J’ai perdu mon utérus à l’âge de 38 ans et à 40 j’ai subi une opération sur un sein, alors forcément, quand on me sort à grand renfort de publicité qu’il existe un moyen pour que ma fille ne subisse pas la même chose que moi, je fonce, c’est humain. La corde sensible, voilà leur grande force, et ça marche, puisque bon nombre d’appels que j’ai eus venaient de mamans qui avaient elles aussi eu des problèmes de santé…
Tout ça pour vous avertir, que si dans votre dossier il existe le moindre doute sur le fait que le Gardasil soit en liaison avec les problèmes de santé de votre fille, la CRCI donnera le bénéfice du doute au labo, et refusera votre demande.
BON COURAGE à tous et bravo à ceux qui ont lu ce message dans son intégralité, celui d’une mère qui n’est même plus en colère ; seulement dégoûtée par le comportement de beaucoup de personnes censées protéger à tout point de vue le peuple français.
Rachel Celli
IC ⋅ Actions ⋅ Journée Sans Viande ⋅
Chaque jour, rien qu’en France, plus de 3 millions d’animaux sont froidement abattus pour leur chair destinée à la consommation humaine.
Les animaux aquatiques tués chaque jour pour nourrir les humains se chiffrent par milliers de tonnes.
Il nous apparaissait donc essentiel de réitérer une seconde Journée Sans Viande sur Orléans, celle-ci se déroulant chaque année le 20 mars et alentour,
Afin d’aborder le sujet de la consommation de viande, aussi scandaleuse qu’aberrante, et d’y apporter une alternative concrète, une table de dégustation gratuite de produits vegans était accolée à une autre table dédiée, elle, à la sensibilisation du public au sort réservé aux animaux DITS de consommation et aux qualités nutritionnelles de l’alimentation végétalienne, ainsi qu’au mode de vie éthique que représente le véganisme.
C’est donc par une belle après-midi ensoleillée que nous nous sommes installés dans le centre-ville d’Orléans, Place du Martroi, samedi 24 mars 2012 de 14 h 00 à 19 h 30, pour une demi-journée dédiée aux droits fondamentaux des animaux et à la promotion du véganisme.
Nous n’avions même pas encore fini d’installer notre table de dégustation qu’une première vague de curieux déferla sur les premières assiettes garnies de divers simili-carnés et autres fromages végétaux.
Les passants ont ainsi pu déguster en versions végétalisées les produits suivants, généreusement fournis par nos partenaires Alternature (Vegusto), Un Monde Vegan et Topas (Wheaty) de l’édition 2012 de la campagne JSV :
La première impression de surprise passée, les exclamations satisfaites des passants ne se sont pas faites attendre. Certains se sont montrés stupéfaits que les alternatives à la chair animale soient aussi diverses et variées que goûteuses, les autres étaient absolument conquis dès les premières mises en bouche. Les questionnements concernant la disponibilité des produits suivaient presque immédiatement la dégustation. Beaucoup déplorèrent honnêtement que ce genre de produits ne soient pas disponibles en grande et moyenne surface, avançant qu’ils en seraient des acheteurs réguliers…
980 portions de nourriture vegan ont été dégustées par le public cette fois.
Les personnes s’étant initialement approchées du stand de dégustation se dirigeaient ensuite tout naturellement vers la table d’information, la plupart n’hésitant pas à regarder quelques minutes les vidéos filmées dans les « élevages » et les abattoirs diffusées sur notre grand écran.
Le fait d’allier les supports graphiques, l’information visuelle et la dégustation nous a semblé être une formule très complète qui s’est révélée particulièrement efficace.
Beaucoup de végétariens sont venus nous féliciter et nous encourager à continuer notre travail d’information et bon nombre de personnes au début assez réfractaires se sont finalement montrées promptes à la discussion, reconnaissant que la consommation de viande relève d’une profonde irresponsabilité tant envers les animaux, la planète que la santé humaine.
Tous ceux qui se sont approchés du stand sont repartis les mains chargées de documentation, ce qui n’a fait que confirmer l’importance capitale des actions de sensibilisation dans la rue.
Les moments forts de cette journée :
Le bilan de cette journée a été très positif : beaucoup de personnes ont pu être informées tant sur le véganisme qu’interpellées sur l’inacceptable sort des animaux destinés à la consommation humaine, ainsi que sur la réelle urgence à modifier son alimentation afin de contribuer à la préservation de la santé de la planète et des hommes.
Plusieurs centaines de bouchées vegan ont été dégustées lors de cette seconde édition de la Journée Sans Viande, pour le plus grand plaisir de tous.
Rappelons l’importance capitale de ce type d’action de rue.
L’information est INDISPENSABLE pour une réelle prise de conscience immédiate et durable. Les animaux, où qu’ils se trouvent, exigent notre mobilisation. Il est de notre DEVOIR de répondre concrètement à leurs appels.
Contact: ic.orleans@international-campaigns.org
[tylr-slidr userID= »68951274@N06″ groupID= » »]http://www.flickr.com/photos/internationalcampaigns/sets/72157629673290341/[/tylr-slidr]
IC ⋅ Actions ⋅ Stop aux Animaux dans les Labos ⋅
A Marcy l’étoile, le groupe de rock Audrey Jungle a dénoncé la vivisection sur scène à l’occasion d’un concert gratuit dans le cadre du festival des Nuits du Loup.
La chanteuse a rappelé que Marcy l’étoile héberge d’énormes locaux de Sanofi.
http://www.youtube.com/watch?v=-2isqnN2HGE
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[tylr-slidr userID= »68951274@N06″ groupID= » »]http://www.flickr.com//photos/internationalcampaigns/sets/72157629682393671/show/[/tylr-slidr]L’association lyonnaise Respect Animal a organisé une action originale et de partage dans le cadre de la JSV 2012.
Ce jour-là, il faisait beau, il faisait bon, et on mangeait végétalien dans les rues de Lyon !
En effet, à l’occasion de la Journée internationale Sans Viande, les militants de Respect Animal ont souhaité amener le végétarisme vers les gens afin de leur faire découvrir, et de faire tomber certains mythes.
Les militants s’étaient donnés rendez-vous dès 11h afin de préparer le stand qui allait accueillir les goûteurs. Tables, nappes, plats, réchauds, déco et documentations ont trouvés leur place sur un stand inédit à Lyon : distribution de repas végétaliens gratuits !
Très rapidement, lyonnais et touristes de tous horizons, jeunes et moins jeunes se sont pressés sur le stand, par vague de plusieurs personnes à chaque fois.
Les personnes recevaient leur repas végétalien équilibré, avec au menu : curry de lentilles corail, accompagné de son sauté de carottes parfumées au cumin et de son riz à l’indienne.
Chaque goûteur recevait la recette, facile à refaire à la maison et un tract informatif comportant les différentes variantes du végétarisme, végétalisme, etc… ainsi qu’un vrai/faux sur ce mode d’alimentation.
De l’eau et des jus de fruits bio étaient aussi à disposition. Les « bols », couverts et verres étaient en matières recyclables.
De l’avis de tous, le repas était savoureux, les goûteurs l’ont tous beaucoup apprécié ce qui a suscité beaucoup d’intérêt et de questions : où puis-je trouver des recettes végétariennes ? comment composer un repas toujours équilibré ? et pour ma fille qui refuse de manger de la viande, n’est-elle pas trop jeune ? etc… Les militants ont pu informer et échanger dans une ambiance ouverte et conviviale.
Ainsi, 100 repas végétaliens sans souffrance ont été distribués place de la République.
Page Facebook ici.
Contact : contact[at]respect-animal.org
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Une action Journée Sans Viande et « Semaine sans pesticides » a été organisée par l’association Oïkos Kaï Bios à Annemasse le 23 mars 2012.
Le Faucigny, le Dauphiné Libéré (jeudi et vendredi) ainsi que la ville (panneaux lumineux) avaient annoncé l’action et le Dauphiné a publié un article. Voir l’album Médias JSV 2012.
Le stand à peine installé, des gens se sont arrêtés.
Jour de marché, et de surcroît très ensoleillé, notre action a eu du succès.
Le thème a interpellé de nombreux passants :
Pour terminer, une sympathisante est revenue après une longue absence. Elle avait noté avec soin la date de notre action dans son agenda.
La discussion fut intéressante, notamment au sujet de nos projets contre la dissection à l’école. Nous lui avons donné la lettre à envoyer au lycée Vendôme (téléchargeable ici).
Elle avait lu la page d’accueil de notre site Internet et apprécié le passage où « l’on caressait des Beagles » très hypocritement, avant de les torturer dans les laboratoires.
Elle a été interpellée par notre important travail dans plusieurs domaines. Nous avons son soutien, particulièrement sur le thème de l’expérimentation animale, sujet à la marge de cette action mais néanmoins toujours proche de nos propos.
Nous remercions ceux qui se sont arrêtés sur le stand pour leurs signatures et les discussions passionnées qui ont émaillé cette matinée de marché.
Prochaines actions pour la Libération des Animaux de Laboratoire (SMAL) en avril.
Contact : oikos.kai.bios[at]orange.fr
[tylr-slidr userID= »68951274@N06″ groupID= » »]http://www.flickr.com//photos/internationalcampaigns/sets/72157629671079553/show/[/tylr-slidr]
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[tylr-slidr userID= »68951274@N06″ groupID= » »]http://www.flickr.com//photos/internationalcampaigns/sets/72157629670904333/show/[/tylr-slidr]Dans le cadre de la Journée internationale Sans Viande (JSV) qui a lieu chaque année autour du 20 mars, une dizaine de militants du collectif Acta-Gironde a tenu un stand place St-Projet à Bordeaux ce samedi 17 mars 2012.
Cette journée est la version francophone de la campagne internationale MeatOut Day (depuis 2006), une initiative lancée en 1985 par l’association américaine pour les droits des animaux FARM qui milite pour une alimentation sans produits d’origine animale par respect des animaux, pour la préservation de la planète et pour l’amélioration de la santé.
Cette journée a été organisée dans des centaines de villes en France et dans le monde entier avec pour objectif de sensibiliser des milliers de personnes sur les impacts négatifs de la consommation de viande sur les animaux, l’environnement et la santé et ainsi inciter à ne plus consommer de viande et autres « produits » d’origine animale.
A Bordeaux comme ailleurs, il y a eu un stand d’information avec distributions de tracts et de revues sur la viande et le végétarisme (animaux, santé et environnement), avec des dégustations de tartines végétales ainsi que des pétitions à signer (L214, etc).
Dans l’ensemble, l’action a été bien perçue par les passants malgré les traditionnels irréductibles fermés à tout arguments et attachés à un bout de viande quotidien comme si leur vie en dépendait (quelques réflexions très amusantes par leur caractère stupide et ridicule).
Notre journée s’est terminée de façon très positive par la rencontre d’un vegan de Moselle, de passage sur Bordeaux dans le cadre d’une tournée artistique. Nous avons ainsi échangé nos expériences vis-à-vis de notre entourage personnel et professionnel, nous espérons nous revoir dans le cadre de notre lutte, sur le terrain ou pour des rencontres plus artistiques.
Une vingtaine de personnes parmi les 400 à 500 abordées (400 tracts imprimés et pratiquement tous distribués) se sont déclarées végétariennes.
Des statistiques récents indiquent que 2% de la population française seraient végétariens. Ces 20 personnes représentent 4 à 5% des personnes abordées. Y aurait-il donc de plus en plus de végétariens ? Il faut le croire.
Nous espérons que le travail de terrain des nombreux militants de la cause animale aidé par les nombreux scandales sanitaires liés à la viande (grippe aviaire, vache folle, etc…) commencent à porter ses fruits. Ce constat est d’autant plus motivant pour continuer à mener notre combat.
A bientôt sur Bordeaux pour de nombreuses actions pour les droits des animaux.
Le collectif ACTA-Gironde
Contact : acta.gironde[at]free.fr
IC ⋅ Infos ⋅ Journée Sans Viande ⋅
Doit-on encore manger des animaux ?
Mardi 27 mars sur ARTE dès 20h35
Au menu (pendant une semaine sur Arte TV)
L’adieu au steak
Les nouveaux végétariens
Débat
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Alors qu’AlloDocteurs et le GIRCOR font une fois de plus l’apologie de la vivisection et que la revue scientiste Nature se fait l’écho d’une médecine personnalisée basée sur la vivisection et une souris qui serait votre avatar (on n’arrête plus le délire…), le Dr Ray Greek nous donne sa vision de cette approche médicale de pointe dans un article traduit ci-dessous tout en déclarant que « la recherche sur les animaux à l’Université de Toronto est une pure perte de temps »…
Selon le Dr Ray Greek, la recherche sur les animaux à l’Université de Toronto est une pure perte de temps
D’après le Dr Ray Greek, docteur en médecine exerçant en Californie, la recherche sur les animaux telle que pratiquée à l’Université de Toronto et dans d’autres établissements de formation, est un pur gaspillage de temps, de travail et d’argent,
« L’expérimentation animale n’est pas fiable », affirme Dr Greek, fondateur en 1999 d’« Americans for Medical Advancement », une association à but non lucratif qui travaille à l’amélioration de la législation et des processus de décision par rapport à l’utilisation des animaux dans la recherche biomédicale.
« Les modèles animaux ont déjà induit les scientifiques en erreur et provoqué des morts humaines », ajoute-t-il.
Ainsi la pénicilline est restée dans les tiroirs pendant plus d’une décennie parce que les lapins sur lesquels elle avait été testée ont amené Sir Alexander Fleming à croire qu’elle n’aurait aucun effet sur l’homme. La disponibilité du vaccin contre la polio fut également retardé de plusieurs décennies parce qu’il s’avéra que les singes n’y réagissaient pas du tout de la même manière que les hommes. Un vaccin contre le VIH qui protégeait les singes augmenta en réalité le risque de contracter le virus chez les volontaires humains auquel le vaccin en question fut administré.
Et le Dr Greek de renchérir : « De nombreux médicaments jugés fiables suite à des tests réalisés sur des animaux se sont avérés inefficaces voire nocifs pour l’homme, qu’il s’agisse, entre autres, du Suprofen, de l’Opren, du Baycol ou du Fénoterol. »
L’autre problème que pose ce type d’expérimentation tient au fait que les sommes consacrées à la recherche sont limitées et que l’essentiel de cet argent est « consacré à des modèles animaux qui n’ont pas de valeur prédictive et s’avèrent, en réalité, trompeurs », explique Dr Greek.
« Des gens souffrent et meurent tout simplement par absence de financement de travaux de recherche fondés sur la spécificité humaine ».
Mais le Dr George Harapa, chirurgien vétérinaire à l’Université de Toronto, a justifié l’utilisation d’animaux pour la recherche en arguant qu’il ne serait pas éthique de « mettre au point un nouveau médicament sur un humain. Dans l’enceinte d’un laboratoire, il est possible de contrôler toutes les variables et d’obtenir des données supérieures. »
Il affirme que c’est un « malentendu » qui a amené les gens à croire que l’Université de Toronto n’utiliserait désormais plus de primates après l’euthanasie de deux macaques qui avaient été utilisés dans le cadre d’un projet avec stimulation cérébrale à l’aide d’électrodes.
Le Dr Barry Sessle, neuroscientifique et dentiste, explique que les animaux utilisés pour ce projet n’ont pas ressenti de douleur puisque le cerveau n’y est pas sensible.
Le Dr Greek confirme cette déclaration, « mais là n’est pas le problème. En effet, la manière dont ces expériences sont conduites, en immobilisant complètement dans un étau la tête d’un singe maintenu de force sur une chaise s’apparente à un film d’horreur… Si on me donnait le choix entre me faire couper la jambe sans anesthésie ou devoir rester assis pendant des heures, la tête serrée dans un étau, c’est l’amputation que je choisirais. »
Un spécialiste canadien de l’éthique animale, David Sztybel, qui donnera courant 2012 une série de cours sur les animaux et la législation à l’Université Brock, déclare que les universités ont tendance à soutenir la recherche sur les animaux pour des questions « d’argent et d’habitude. Ce mode de recherche est économiquement gratifiant pour elles. Et qui plus est commode car il est plus facile de commander un groupe d’animaux que l’on peut enfermer et soumettre à des expériences que de prendre la peine de rassembler des volontaires en vue d’une étude, ce qui exige beaucoup de travail supplémentaire. »
D’après le Dr Greek, les méthodes de substitution à l’expérimentation animale concernent notamment la culture de sang, de tissus et d’organes humains en plus de la recherche clinique et génétique.
Selon lui, on se dirige vers une forme de « médecine personnalisée »qui permet au médecin de se pencher sur le profil génétique d’une personne et d’adapter un traitement en conséquence pour des affections telles que le cancer du sein. Cette approche est « en totale opposition avec les traitements médicaux basés et testés sur des animaux ».
IC ⋅ Infos ⋅ Journée Internationale pour les Droits des Animaux ⋅
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