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République tchèque : le nombre de restaurants végétariens dans le pays suffisant pour répondre à la demande
IC ⋅ Infos ⋅ Journée Sans Viande ⋅
« Le nombre de restaurants végétariens en République tchèque a fortement augmenté ces dernières années. Evalué à environ 70, leur nombre et leur diversité sont suffisants pour répondre à la demande. C’est ce qu’a expliqué le président de la Société nationale de l’alimentation et du végétarisme. Les végétariens et végétaliens représentent environ 4 % de la population tchèque. En revanche, l’offre de plats sans viande dans les restaurants et brasseries traditionnels et classiques est beaucoup plus faible. »
Source : ici
Et en France au fait ?!
Médias et expérimentation animale
IC ⋅ Infos ⋅ Stop aux Animaux dans les Labos, Vivisection / Dissection : Objection ! ⋅
Médias et expérimentation animale
Dans le cadre de l’apologie faite à l’expérimentation animale, l’émission « Bye Bye cobaye » était diffusée et rediffusée à la fin de l’été 2011 sur France 5.
On y a parlé des progrès réalisés : chartes éthiques, directive cosmétique…des arguments auxquels nous ne pouvons adhérer tant l’opacité règne autour des laboratoires.
Le Professeur NOUËT Président d’honneur de la Ligue Française des Droits de l’animal y a déclaré : « les gens ont une vision anthropomorphique de l’animal et des degrés d’intérêt pour les espèces ». Pour notre part, la souffrance des souris auxquelles on inocule des cellules cancéreuses pour étudier ensuite les tumeurs qu’elles développent est aussi digne d’intérêt que la souffrance du chien ou du lapin.
Les méthodes substitutives y étaient présentées comme « des méthodes de complément indissociables de la recherche sur les animaux ».
D’une part, la validation des méthodes sans animaux tarde, d’autre part nous savons les réticences de tous à modifier ses pratiques. De surcroît, l’élevage des animaux de laboratoire est un commerce lucratif – pratiqué aussi de manière maltraitante pour l’animal – ce qui fait perdurer encore la vivisection.
L’émission a laissé une large part aux étudiants du Lycée Professionnel Vendôme.
Nous proposons d’envoyer un courrier au Proviseur de l’Etablissement.
Ci-dessous une lettre-type à envoyer telle quelle ou à modifier selon vos souhaits, vos disponibilités…
Egalement dispoonible au format Word ici.
Merci de votre lecture
Oïkos Kaï Bios
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NOM, Prénom
Adresse
Date
Objet : émission « Bye Bye cobayes »
Lycée d’Enseignement Général Technologique et Agricole (LEGTA)
Monsieur Bruno RICARD, Proviseur
BP 106 AREINES
41106 VENDOME Cedex
Monsieur le Proviseur,
Plusieurs formations à l’expérimentation animale sont proposées dans votre lycée, dont une formation de Technicien en Expérimentation Animale (bac professionnel).
France 5 diffusait en août et septembre 2011 l’émission « Bye Bye cobaye ». Une classe du lycée Professionnel Vendôme était filmée à cette occasion et je m’interroge sur le sens de la présence du LEGTA à la télévision.
L’on y voit en effet des étudiants caresser des chiens Beagle, en insistant sur la socialisation de l’animal. Nous vous rapportons quelques propos de l’enseignant filmé avec sa classe.
« On les caresse bien, tranquillement, cela s’appelle le caressing » ou encore « on apprend la philosophie des apprentissages, comment tenir, contenir » (sic).
Ce professeur a-t-il dit aux élèves que les cordes vocales de ces trop gentils animaux étaient sectionnées afin qu’ils ne puissent hurler lors d’expériences douloureuses. Il eût été plus honnête de montrer aux téléspectateurs les chiens maintenus dans des « tubes de contention » plutôt que de montrer des gestes anodins qui consistent à donner par exemple une gélule à un chien.
Ce n’est pas la dure réalité des animaleries qui a été montrée, et c’est bien regrettable pour la crédibilité et l’éthique de l’information. Comment affirmer dans ce contexte que «la qualité première est l’amour de l’animal » comme le dit l’enseignant.
Enfin, « faire des gens responsables de leurs actes » (sic) nous semble aussi incongru que de parler de charte éthique associées aux protocoles d’expérience quand il s’agit de torturer.
Nous vous rapportons ces autres propos de l’enseignant lors d’une séance avec des rongeurs: « on ne vous demande pas de déshabiller le lapin » (sic) or la plus grande cruauté a été exercée sur les lapins dans les laboratoires. Pendant des décennies, on a pratiqué le terrible test de Draize (instiller un produit corrosif dans l’œil du lapin, et ceci jusqu’à nécrose de l’œil). L’animal a été aussi largement utilisé pour tester les cosmétiques. Si aujourd’hui ces tests ont un peu évolué sans toutefois cesser complètement, avoir un peu plus d’égard pour ce rongeur serait un minimum pour une personne qui dit enseigner « le respect de l’animal ».
Un tel cynisme du professeur n’a eu que le mérite d’affaiblir les propos du Professeur NOUËT. Au cours de l’émission, ce dernier, néanmoins Président d’honneur de la Ligue Française des Droits de l’animal, a réfuté l’idée « répandue dans les milieux antivivisection » que les scientifiques sont « sadiques, sans cœur » (cité de mémoire) « pour la simple raison qu’un animal maltraité fausserait l’expérience » (sic). Il suffit de lire quelques articles scientifiques pour constater à quel point les animaux de laboratoire sont considérés avant tout comme du matériel d’expérience.
Ce sont toujours les mêmes arguments qui sont mis en avant pour légitimer l’inacceptable.
Je me demande pourquoi vous vous êtes prêté à une telle émission, peut-être pour des raisons publicitaires.
Compte tenu de ces diverses remarques, je confirme mon opposition à l’existence et au développement de tels enseignements qui légitiment le maintien de l’expérimentation sur les animaux. L’argent qui est investi dans ce type de cours ne l’est pas pour l’enseignement des méthodes alternatives sans animaux.
Je vous remercie de l’attention que vous porterez à cette lettre.
Je vous prie d’agréer, Monsieur Le Proviseur, l’expression de mes salutations respectueuses.
Signature
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Garantis RE-testés sur animaux
IC ⋅ Infos ⋅ Un Été sans Cruauté ⋅
Après 20 ans de publicité « PRODUITS NON TESTÉS SUR ANIMAUX », Avon, Estée Lauder et Mary Kay sont de nouveau impliqués dans le business de la vivisection.
En effet, ces marques s’étaient engagées, il y a longtemps pour certaines, à ne PAS ou ne PLUS (surtout) tester sur les animaux auprès de l’association PETA (USA).
Mais là où ça coince et dérape pour ces marques, c’est lorsqu’il y a de nouveaux marchés à conquérir et que, du coup, l’éthique passe au second plan… C’est-à-dire partout où la réglementation locale/régionale à travers le monde impose que les produits et substances cosmétiques soient testés sur les animaux. En Chine par exemple, un pays qui n’a pas encore tout compris et appréhendé côté disponibilité et performances des méthodes de tests sans animaux.
Les fabricants cèdent à la pression économique et acceptent de se faire les complices d’abominables tests sur animaux, juste pour le profit et Avon, entre autres, n’est tout simplement pas prêt à RENONCER à des marchés qui imposent la torture d’animaux.
Traduction en français du courrier type (en anglais plus bas) qu’Avon envoie à ses clients :
Merci de nous avoir fait part de vos préoccupations par le présent mail, et de nous donner l’occasion d’y répondre.
Bien qu’Avon ne pratique pas de tests sur les animaux pour prouver la sécurité de ses produits, il peut arriver que la réglementation dans certains pays nous oblige à soumettre certains produits déterminés à des expériences de contrôle supplémentaires, suivant la réglementation imposée par un gouvernement ou une agence sanitaire. Ces expériences peuvent comprendre des tests sur les animaux, et, dans ces quelques cas, Avon s’efforce toujours de persuader les autorités d’accepter des données non issues de l’expérimentation animale. Si ces efforts s’avèrent vains, Avon ne saurait enfreindre la loi et nous devons alors faite tester les produits concernés. Toutes les entreprises de cosmétiques mondialement implantées rencontrent le même problème. Nous ne sommes pas seuls face à ce dilemme et nous continuons à promouvoir les méthodes alternatives.
Depuis plusieurs décennies déjà, Avon œuvre au développement de méthodes alternatives à l’expérimentation animale. Le vice-président du département de la sécurité et de l’intégrité des produits est membre du Comité de Conseil Scientifique de l’Institut des Sciences In Vitro (IIVS), un organisme à but non lucratif de recherche et d’expérimentation qui se consacre au développement des méthodes in vitro (n’impliquant pas les animaux) partout dans le monde. De même, Avon soutient toujours les recherches d’alternatives menées au Royaume-Uni par la Fondation pour le Remplacement des Animaux dans l’Expérimentation Médicale (FRAME), aux États-Unis via le Centre pour les Alternatives aux Tests sur les Animaux au sein de l’université John Hopkins, et l’Association Européenne pour les Approches Alternatives à l’Expérimentation Animale (EPAA). Avon est l’un des sponsors fondateurs de la Société Américaine pour la Recherche Cellulaire et Informatique en Toxicologie (ASCCT). De plus, Avon œuvre à la recherche de solutions en collaborant étroitement avec d’autres fabricants de cosmétiques par le biais du Conseil relatif aux produits d’hygiène corporelle, aux États-Unis.
Soyez assuré qu’Avon partage votre engagement en matière de sécurité (NDT : SIC) animale. L’opposition aux tests sur les animaux et le souci du bien-être animal figurent parmi les fondements de notre politique de sécurité des produits, et Avon ne cesse de travailler activement à faire progresser le développement d’alternatives à l’expérimentation animale partout dans le monde. Nous vous appelons à militer pour l’acceptation mondiale de données ne dépendant pas de tests sur les animaux.
Sincères salutations,
Tod Arbogast
Vice-président,
Développement durable et Responsabilité de l’entreprise
Courrier original en anglais :
Thank you for your email sharing your concerns, and for giving us the opportunity to respond.
Avon does not conduct animal testing to substantiate the safety of any of its products. In fact, Avon was the first major cosmetics company to end animal testing on products, more than 20 years ago.
Although Avon does not conduct animal testing to substantiate the safety of any of its products, some select products may be required by law in a few countries to undergo additional safety testing, under the directive of a government or health agency. This may include animal testing, and in those few instances Avon always attempts to persuade the requesting authority to accept non-animal test data. When those attempts are unsuccessful, Avon cannot break the law and therefore we must submit the products requested. This is an issue facing all global beauty companies, we are not alone in this dilemma and we continue to push for alternate measures.
Avon has worked to advance alternatives to animal testing for decades. The Vice President of Product Safety & Integrity serves on the Scientific Advisory Panel of The Institute of the In Vitro Sciences, Inc. (IIVS), a non-profit research and testing organization dedicated to the advancement of in vitro (non-animal) methods worldwide. Similarly, Avon continues to support research into alternatives conducted by the Fund for the Replacement of Animals in Medical Experiments (FRAME) in the United Kingdom, the Center for Alternatives to Animal Testing at Johns Hopkins University in the US, and the European Partnership for Alternative Approaches to Animal Testing. Avon is a Founding Sponsor of the American Society for Cellular Computational Toxicology. In addition, Avon works closely on this issue with other companies in the Beauty industry through the US Personal Care Products Council.
You can be confident that Avon shares your commitment to animal safety. Opposition to animal testing and respect for animal welfare are a cornerstone of product safety for Avon, and Avon continues to actively work to advance the use of alternatives to animal testing worldwide. We encourage you to call for the global acceptance of non animal test data.
Sincerely,
Tod Arbogast
Vice President,
Sustainability & Corporate Responsibility
Ne pas craindre d’utiliser l’argument scientifique
IC ⋅ Infos ⋅ Stop aux Animaux dans les Labos ⋅
En tant que militants des droits des animaux, il est normal que nous ne maîtrisions pas tous les arguments scientifiques ou que nous ne les exprimions pas de la façon la plus convaincante.
Aussi, afin que vous puissiez répondre sans hésitation et avec des arguments rigoureux et implacables à votre entourage et aux personnes soutenant la vivisection que vous serez amené(e) à rencontrer sur vos stands de sensibilisation dans le cadre notamment de la campagne d’envergure nationale « STOP aux animaux dans les labos ! », voici deux documents essentiels qui viennent d’être réactualisés, à savoir
N’hésitez pas à lire et relire ces documents afin d’en maîtriser le contenu et d’acquérir ainsi toute la répartie nécessaire.
Vous pouvez, par exemple, en imprimer quelques exemplaires que vous remettrez aux personnes les plus intéressées lors de vos stands.
Vous retrouverez ces documents ainsi que d’autres (vidéos, FAQ…) sur la page Argumentaire.
International Campaigns et Antidote Europe se tiennent à votre disposition pour répondre à toute question ou vous fournit tout conseil utile.
« Cours de biologie sur souris de laboratoire »
IC ⋅ Infos ⋅ Stop aux Animaux dans les Labos, Vivisection / Dissection : Objection ! ⋅
Enseignement de la torture et de l’instrumentalisation des animaux
Opération portes ouvertes au lycée Léo-Lagrange qui a pu mettre en avant son équipement de qualité
Exemple de cours de biologie sur souris de laboratoire dans une des salles de l’établissement.
Le lycée professionnel général et technologique Léo-Lagrange a ouvert … ses portes au grand public. Les collégiens des communes voisines, Grenay et Mazingarbe, y furent accueillis ces dernières semaines pour le découvrir avec leur classe.
(c) La Voix du Nord – 22.02.12
Vive Mardi Gras : version vegan !
IC ⋅ Infos ⋅ Journée Sans Viande ⋅
Hamburger artificiel
IC ⋅ Infos ⋅ Journée Sans Viande ⋅
Un article et des passages intéressants ici, notamment :
Ce projet a été financé par un riche donateur qui souhaite rester anonyme, a-t-il dit, expliquant que ce dernier voulait voir diminuer le nombre d’animaux de ferme abattus pour leur viande et réduire ainsi les émissions de gaz à effet de serre résultant de l’élevage.
Cette technologie (de l’élevage) n’a pas fondamentalement changé depuis mille ans et consiste à soustraire les éléments nutritifs des plantes pour nourrir des animaux pour leur viande, a-t-il dit.
J’ai décidé de consacré le restant de ma vie de scientifique au développement de technologies aternatives afin de produire des aliments pouvant remplacer la viande et les produits laitiers, a insisté le biochimiste.