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Quelques points forts – non exhaustifs – concernant ces actions à visée abolitionniste réalisées au cours de la deuxième quinzaine d’avril :

• L’annonce de la  campagne SMAL à partir de début avril, par voie d’affichage public et chez de nombreux commerçants sympathisants en région parisienne et en province.

• La diffusion, notamment à Paris, Vire, Lyon et Luxembourg, de vidéos de scènes d’animaux utilisés et suppliciés dans les laboratoires qui reste malheureusement trop limitée à l’heure de la communication visuelle, où l’image parle tellement plus à nos contemporains que du texte et des photos.

• L’exécution de saynètes dans plusieurs villes, notamment à Besançon, à Luxembourg et à Paris, un mode de sensibilisation pas encore assez pratiqué pour interpeller plus
  facilement et massivement les passants dans la rue.

• De nouvelles formes de sensibilisation – à développer, avec ou sans le relais des médias – telles que la prise de parole et la lecture (à Vire et Lausanne) de témoignages sur le calvaire des animaux dans les laboratoires de vivisection et le recueillement dans la rue à l’occasion de la Minute de Silence à 12h le 24 avril, Journée Mondiale dédiée aux « animaux de laboratoire ».

• Le relais, de plus en plus important, par Internet – et alertes SMS aussi – de cette Minute de Silence par des centaines d’Internautes qui ont informé tout leur carnet d’adresses électroniques, soit des milliers de personnes sensibilisées en plus à la vivisection, pratique innommable à nouveau en hausse constante en France depuis plusieurs années, malgré les assurances des autorités et des organes de propagande de l’industrie – très lucrative – de la vivisection.

• La diffusion et l’utilisation toujours plus importantes du dossier SMAL Electronique, qui sera mis à jour chaque année. Son objectif est que chacun puisse sensibiliser de manière concrète et pratique à la vivisection en s’appuyant sur un argumentaire et un questionnaire de 2 pages à faire remplir à ses proches par exemple.

• La diffusion à travers le territoire de plus de 10 000 exemplaires du tract SMAL abolitionniste dénonçant toutes les expériences sur les animaux et faisant la promotion des méthodes de substitution et aussi de toute une gamme de tracts antivivisection généralistes et spécialisés dont le triptyque International Campaigns des marques aucunement testées sur les animaux. A noter également la disponibilité d’un nouveau poster contre la vivisection.

• La professionnalisation toujours plus grande de certaines tables d’information abordant concrètement :

• les alternatives économiques à la vivisection, avec la mise à disposition de testeurs et d’échantillons de produits aucunement testés – ni le produit fini ni les ingrédients – sur des animaux, diffusion de listes pratiques de points de vente de marques éthiques. Plusieurs centaines d’échantillons de marques de soins, cosmétiques et
  d’entretien non testées sur les animaux (ingrédients et produit fini)
  ont été remis aux passants et consommateurs ainsi que des centaines de
  documentations associées.
• les méthodes scientifiques de substitution à l’animal avec la disponibilité d’une documentation complète à caractère scientifique (dossiers et tracts notamment d’Antidote Europe).

• Des milliers de signatures ont été collectées à travers le pays pour différentes pétitions contre l’expérimentation sur les animaux, notamment celles demandant la disponibilité massive en grande surface de produits cosmétiques, de soins et d’entretien non testés sur les animaux, pour le droit à l’objection de conscience et contre le projet de bioparc à Archamps. Mettre des pétitions à la signature est aussi un moyen d’amener les passants vers les tables pour mieux leur apporter de l’information générale et pratique aussi.

• A travers les pays francophones, en l’espace de 15 jours, ce sont des dizaines de milliers de passants qui ont été à nouveau sensibilisés aux innommables expériences en tout genre réalisées sur des animaux sans aucun droit ni défense.

• Une douzaine d’articles ont été consacrés à la SMAL 2008 par la presse écrite à travers la France, ce qui a augmenté la visibilité de cette campagne abolitionniste internationale.