Directive sur l’encadrement des sévices infligés aux animaux dans les labos européens
2 sources ici et là reprenant globalement les mêmes informations :
Quelques points un peu plus hypocrites et scandaleux que le reste d’un point de vue abolitionniste et droits fondamentaux des animaux à ne pas servir les intérêts des humains, notamment dans les laboratoires :
- « Le point essentiel est d’améliorer le bien-être animal sans nuire pour autant à la lutte contre les maladies. »
On pourrait faire des parallèles (trop faciles s’offusqueront certains bien pensants) avec certaines formes d’abus envers des humains sans défense et envisager qu’elles soient tolérées si elles sont bien encadrées au nom d’un bien-être plus que douteux plutôt que de les combattre sans relâche pour les interdire et punir sévèrement à juste titre. Mais dans le cas qui nous occupe et préoccupe, « ce ne sont que des animaux », voyons… faut pas tout mélanger surtout, une spécialité des militants pour les droits des animaux, n’est-ce pas.
Aussi, les méthodes scientifiques de substitution à l’animal semblent passer à la trappe une fois de plus.
- « Une certaine flexibilité est accordée aux États membres qui pourront choisir de déroger à cette règle pour certains types d’expérimentations ne portant pas sur les grands singes«
Ça promet pour la majorité des animaux qui vont continuer de souffrir et mourir dans les labos européens, les rongeurs notamment. Bref, une nouvelle peine incompréhensible ad vitam eternam pour les prochaines et innombrables générations d’animaux qui seront tourmentées dans les labos européens.