Expérimentation animale : l’horreur à Montpellier
Voici le témoignage inédit et bouleversant que nous avons reçu d’une personne qui a pu pénétrer dans une animalerie d’un grand établissement public sur Montpellier où l’on pratique l’ expérimentation animale.
C’est aussi cela, l’excellence scientifique « made in Montpellier »…
Dans l’enfer de l’expérimentation animale
Les animaux utilisés sont des souris, rats, lapins et des microcèbes. On leur introduit des cathéters au niveau du cerveau, on sacrifie les bébés, et on pratique des dissections.
L’espace vital minimum des animaux n’est pas respecté. Les cages sont en surpopulation (plus de 20 souris dans une petite cage parfois). Certains animaliers peuvent laisser les animaux sans manger ni boire pendant plusieurs jours par flemme d’aller les nourrir. Certains devaient mourir déshydratés surtout en été.
J’ai assisté à une scène de cannibalisme horrible chez des rats qui sont pourtant censés respecter leurs congénères. Des rats se sont acharnés sur le plus faible et l’ont dévoré à un point qu’on n’a retrouvé que sa queue. Toujours en raison de la surpopulation dans les cages, des souris ont développé une agressivité très importante entre elles à un point qu’elles s’arrachaient la peau et même les yeux. Les souris étaient dans un état d’horreur indescriptible. Des souris isolées ont développé des tumeurs de la taille de leur tête, parfois si grosses qu’elles avaient du mal à marcher et visiblement souffraient, mais les chercheurs s’en moquaient éperdument.
D’après des animaliers qui côtoient les chercheurs pratiquant l’expérimentation animale, les rats qui ont subi la cathétérisation au niveau du cerveau l’ont été sans anesthésie. Ces rats étaient enfermés dans un bunker où ils ne voyaient jamais la lumière du jour. Leur visage et leur cage étaient couverts de sang, chose dont personne ne semblait se préoccuper.
Rappel : International Campaigns ne milite pas pour des cages plus grandes, mais pour des cages VIDES.