Le mouton, l’avenir du primate en neurosciences ?
En tout cas, ça va en soulager certains, i.e. les blouses blanches harcelées de par le monde et à qui des arguments éthico-juridiques sont désormais parfois opposés ici et là.
Bien joué, messieurs les chercheurs qui veulent toujours anticiper et la communauté scientifique avait déjà déployé un stratagème similaire dans les années 1980 en favorisant l’utilisation des « porcs » plutôt que des chiens et des chats, deux espèces animales plus proches du grand public.
Un mouton et un « porc », ce n’est que de la viande sur pied… et comme ça moins de risque que le public s’oppose à des expériences neurologiques sur de la viande sur pied plutôt que sur des singes, proches cousins de l’homme.
Début de l’article Maxisciences du 27.02.11 :
« Publiée dans la revue Public Library of Science One, une étude britannique montre chez le mouton des capacités cognitives inattendues. Ce qui pourrait grandement aider la recherche médicale en neurologie. »
Intégralité de l’article ici .