L’industrie pharmaceutique travaille pour votre bien

Article recopié du site Initiative Citoyenne

Voici un témoignage émouvant, celui de Rachel Celli, maman de Laetitia, qui a eu la gentillesse et le courage de nous faire parvenir ce témoignage sur la suite du parcours de sa fille. Un témoignage qui démontre de façon cruelle le peu d’égards qu’on réserve aux victimes de cette propagande, hélas bien huilée:

Bonjour à tous,

J’ai reçu les conclusions finales de la commission qui devait statuer après l’expertise demandée par la CRCI au sujet de notre demande d’indemnisation.

Le résultat est bien sûr sans surprise, même s’il me dégoûte au plus au point.

La commission dit : « Puisque le lien avec le Gardasil n’est pas explicitement confirmé, malgré la chronologie des faits,  la demande est rejetée ».

Il faut tout de même savoir qu’il est très difficile d’affirmer à 100% que le Gardasil est responsable et que la soixantaine de médecins et professeurs consultés n’ont jamais voulu prendre cette décision. Le doute profite donc au laboratoire comme on pouvait le prévoir, puisque c’est à nous victimes d’apporter la preuve du fait que nous soyons victimes.

 

Il est intéressant de constater que si un français empoisonne son voisin, il va directement en prison et paye des dommages, alors que les labos, eux, empoisonnent nos enfants avec la bénédiction des instances de l’état, et bien sûr sans verser aucune indemnisation aux victimes.

On peut parler d’empoisonnement, puisque ce vaccin contient de l’aluminium, très controversé en ce moment, et du BORAX interdit par la réglementation Européenne puisque considéré comme toxique, et dont les emballages doivent comporter  la tête de mort.

Je reviens sur l’expertise que ma fille a subie et qui m’a appris plusieurs choses :

La première, c’est qu’il est inutile de consulter des cardiologues, gastro, gynéco, pneumo, neuro, psy, rhumato, et autres grands professeurs, car les experts sont des gens qui, en fait, sont tout ça à la fois. J’explique: un neurologue et un pharmacologue, déguisés en experts, se sont évertués pendant plus d’une heure à démonter point par point tous les examens de tous les médecins cités plus haut. Ces experts se sont uniquement basés sur les documents fournis par le labo, et ne semblaient pas du tout intéressés par les informations que je détenais. Ils ne voulaient absolument pas en entendre parler.

 

Alors qu’un psy avait affirmé que ma fille ne présentait aucun syndrome d’anxiété ni de dépression et qu’un suivi psy ne servait à rien, ces deux experts, eux, ont écrit sur leur rapport que ma fille était dépressive et que son état relevait d’un suivi psy ; et tout ça en un peu plus d’une heure. Ces gens sont vraiment SURNATURELS !

Ils détiennent un pouvoir fantastique, incroyable et sont capables de se substituer à n’importe quel médecin et poser un diagnostic irréfutable.

La deuxième chose, c’est que la France est divisée en 2 catégories de personnes : les médecins très, très intelligents et les autres, vous et moi, les débiles.

Explication : les experts examinent les pieds de ma fille : oui, oui, elle à une voûte plantaire creuse ???? Commentaire de l’expert :  » ah, elle a les pieds creux, c’est bon, on arrête là, c’est neurologique… Je pose une question : « et ça veut dire quoi?  »

Réponse : « On ne va pas vous faire un cours de médecine, vous ne comprendriez rien!!! »

Voilà, je ne suis pas médecin, donc je suis débile!!!!!!! Comme tous les gens qui ont les pieds creux. Ce qui m’amène à une réflexion : dans l’armée, étaient refusés tous les hommes qui avaient les pieds plats, donc ils étaient sûrement trop intelligents pour obéir bêtement aux ordres, ceci explique sûrement cela !

La troisième chose : les experts me disent : » Franchement presque 2 millions de gamines ont été vaccinées avec le Gardasil et seulement 2 d’entre elles se disent victimes, ce n’est pas sérieux et ça n’aboutira pas ». Exact.

Depuis juillet, je n’ai pas arrêté de témoigner sur diverses chaînes de télévision, dans des tas de journaux, à la radio pour informer les gens, réveiller les consciences. J’ai passé des heures à répondre au téléphone à certains d’entre vous et à d’autres qui ne m’ont pas laissé leur adresse mail, et quand j’ai envoyé des journalistes vous contacter pour avoir d’autres témoignages et ainsi être plus crédible, ces journalistes sont revenus vers moi en me disant que personne ne voulait témoigner. Je vous comprends, car depuis toute cette médiatisation je n’arrive plus  à me faire soigner. Mais nous ne sommes pas crédibles si nous ne sommes que 4 ou 5 à faire parler du Gardasil ; il faut qu’il y ait d’autres témoignages, que les médecins et l’état se rendent compte de l’ampleur du carnage. A un moment, il faut arrêter d’avoir peur ou honte, de se cacher derrière les autres en attendant de voir ce qui va se passer, et il faut avoir le courage de s’élever contre toute cette machination très bien huilée qui consiste à dire : » Pour en sauver des centaines, il faut bien qu’il y ait un pourcentage de pertes ». Oui, cette phrase, des professeurs et médecins me l’ont dite, en rajoutant : «  Vous, vous n’avez pas de chance ! » Voilà, ma fille fait partie d’un pourcentage de pertes acceptables, ni plus ni moins et je dois faire avec… !

Nous avons eu une vie avant le Gardasil et depuis plus de 4 ans nous avons une autre vie, qui tourne autour du Gardasil. J’ai dû arrêter de travailler pour m’occuper de ma fille, la trimbaler à travers toute la France pour diverses consultations, examens, biopsies, opérations… Tout cela a pris du temps, de l’énergie et beaucoup d’argent, car les frais de carburant, les billets de trains, les frais d’hôtel, les repas, les parkings, les autoroutes ne sont pas remboursés par la sécurité sociale. Notre vie de famille s’en est trouvée toute retournée, ainsi que notre vie sociale. Ma fille aujourd’hui n’a toujours pas de diagnostic posé, personne ne comprend ses crises de paralysie, de tremblements, ses nausées quotidiennes avec ses fièvres, ses bouffées de chaleur, ses névralgies, ses douleurs pelviennes, ses syncopes, personne ne propose de traitement. Pendant ce temps là, a 21 ans, elle doit composer avec tout cela, ne peut pas se rendre en fac plus de 2 h par jour, car elle est extrêmement fatiguée par des douleurs dans les jambes ; elle ne peut plus conduire ; je dois l’accompagner quand elle veut faire des courses, car le bruit et la lumière lui donnent des vertiges, elle ne peut pas accompagner ses amies dans des fêtes ou au cinéma, comme tous les jeunes de son âge, et je ne sais même pas si elle sera un jour capable de travailler et de subvenir à ses besoins.

Notre avocat n’a pas souhaité continuer à s’occuper du dossier, et peu d’avocats veulent bien le faire. Je vais donc me refaire une santé financière pour demander une contre expertise et relancer l’affaire.

Il serait souhaitable que beaucoup de victimes commencent à faire parler d’elles par voix de presse pour qu’enfin la population, les médecins et nos instances de l’état prennent pleinement conscience du problème. Nous avons été seulement 5 à témoigner et ce n’est pas suffisant, tant que nous n’organiserons pas un mouvement d’ampleur, nous serons discrédités. C’est seulement le nombre qui fera en sorte que nous soyons crus et écoutés.

Pendant que nous sommes là à attendre bien sagement dans notre coin, muselés comme il faut, d’autres gamines se font vacciner en ayant l’illusion que ce vaccin est magique et qu’elles n’auront pas de cancer du col de l’utérus, sans connaître les dangers de l’aluminium et  du borax.

L’information ne circule que très mal, pour preuve : quand on me pose des questions dans ma ville et que j’informe sur le borax, on me regarde avec des yeux ronds en me répondant : « Ce n’est pas un poison, sinon Xavier Bertrand n’en aurait pas autorisé le remboursement » et quand je parle des 2 ans et demi d’essais cliniques seulement », on me répond la même chose.

Voilà comment l’état permet au labo de continuer à s’enrichir. Le peuple part du principe que l’état le protège et que si l’état autorise un produit, c’est qu’il est sans danger….alors quand on apprend à ce même peuple que le ministre a autorisé le remboursement quelque mois avant la décision de l’AMA, censé lui nous protéger, ce même peuple, ne le croit absolument pas.

Nous n’avons aucune chance de redonner la vue à des gens qui ne veulent pas voir.

Dans quelques semaines, on va me demander d’aller voter, d’élire un personnage qui devra avant tout nous gouverner et nous protéger, qui sera payé par nos impôts, et qui continuera sa formidable protection comme ses prédécesseurs l’ont fait, avec le sang contaminé, l’hépatite B, l’affaire Tchernobyl (je vous rappelle qu’ils nous ont pris pour des andouilles en nous assurant que les nuages n’avaient pas passé la frontière française), le médiator interdit depuis 10 ans en Allemagne, mais sans danger pour les français, les prothèses PIP et bientôt une affaire de prothèses de hanches… Comment ne pas penser à cet expert me faisant comprendre que j’étais débile, bien sûr ! Nous avalons toutes les couleuvres qu’ils nous envoient sans sourciller. Comment pourrait- il en être autrement d’ailleurs…

Le jour de l’expertise, j’ai gagné en intelligence, et tout ce que je vois aux informations est décortiqué et analysé. Et non, je ne les crois plus !

Je suis obligée de payer mes taxes et impôts qui vont bien sûr faire vivre confortablement tous ces gens qui nous gouvernent, mais il n’est pas question que je le fasse sans réagir. Toutes les lois votées ne sont pas faites pour nous protéger mais uniquement pour les protéger eux.

Pour preuve, une chose qui s’est passée cet été, interdisant aux victimes d’un médicament de s’attaquer au labo si elles sont victimes d’un effet indésirable marqué sur la notice. Regardez un peu la liste des effets indésirables du Gardasil et prenez conscience de cette loi ! Aucune victime ne pourra plus s’élever contre le labo, et cela à été pondu après la médiatisation des affaires Médiator et Gardasil, donc : bonne chance à tous !

J’ai voulu surprotéger mes enfants et j’ai donc été punie. A trop vouloir, on finit par ne plus rien avoir, et c’est bien vrai.

Pendant l’expertise, un des experts m’a dit cette phrase « MAIS MADAME, CE N’EST PAS LE LABORATOIRE QUI VOUS A OBLIGEE A FAIRE CE VACCIN SUR VOTRE FILLE, C’EST VOUS QUI AVEZ PRIS CETTE DÉCISION, VOUS N’AVEZ QU’A VOUS EN PRENDRE A VOUS MÊME. »

Et oui, personne ne nous a forcées à faire ce vaccin… Un peu facile tout de même…

J’ai perdu mon utérus à l’âge de 38 ans et à 40 j’ai subi une opération sur un sein, alors forcément, quand on me sort à grand renfort de publicité qu’il existe un moyen pour que ma fille ne subisse pas la même chose que moi, je fonce, c’est humain.  La corde sensible, voilà leur grande force, et ça marche, puisque bon nombre d’appels que j’ai eus venaient de mamans qui avaient elles aussi eu des problèmes de santé…

Tout ça pour vous avertir, que si dans votre dossier il existe le moindre doute sur le fait que le Gardasil soit en liaison avec les problèmes de santé de votre fille, la CRCI donnera le bénéfice du doute au labo, et refusera votre demande.

BON COURAGE  à tous et bravo à ceux qui ont lu ce message dans son intégralité, celui d’une mère qui n’est même plus en colère ; seulement dégoûtée par le comportement de beaucoup de personnes censées protéger à tout point de vue le peuple français.

Rachel Celli

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