Ypres (Belgique) – Dimanche 24 juillet 2005
[tylr-slidr userID= »68951274@N06″ groupID= » »]http://www.flickr.com/photos/internationalcampaigns/sets/72157629051890279/[/tylr-slidr]Dimanche 24 juillet, dans la vaste salle du festival annuel de musique « Grind-core », « Hard-core » et « Brutal-death », à Ypres, en Belgique, j’ai tenu un stand de 12h à 21h.
J’ai accroché des photos d’animaux « de laboratoire » et dressé une table d’information sur les Droits des Animaux en général, mais surtout, sur le thème de l’expérimentation animale et de la vivisection (tracts Bronzez Sans Cruauté, listes des marques de cosmétiques et produits d’entretiens sans cruauté, pétitions, adresses de site en anglais).
Le public (300 personnes environ) était composé de Belges, de Hollandais, d’Italiens et de Français, en majorité des hommes. C’était l’occasion d’insister sur le fait que les tests sur animaux ne concernent pas uniquement le maquillage et les produits de beauté pour les femmes. Cela en a étonné plus d’un. Nous communiquions en anglais, mais de nombreux Belges étaient francophones.
Ce sont d’abord les photos accrochées qui les ont amenés à venir au stand. La plupart étaient assez écœurés. Les tracts et pétitions ne les ont pas laissés indifférents, mais ils n’ont pas toujours tout signé. Par contre, j’ai fait la connaissance d’un couple de Dunkerque qui a signé toutes les pétitions. Ils ont aussi formulé le vœu de tenir des stands à Dunkerque. C’est avec plaisir que je leur ai remis des adresses de sites, quelques tracts et des pétitions vierges.
Ce n’était pas la première fois que je tenais une table à un concert de ce genre. D’ailleurs, ce n’est pas si original que ça : c’est à un festival en Belgique il y a 6 ans que j’ai découvert le militantisme en faveur des animaux. En effet, de nombreux groupes de « Grind-core et « Hard-core » sont très engagés dans la défense des Droits des Animaux (Agathocles en BELGIQUE, Gride en République tchèque, Arkangel aux USA…). De plus, souvent, dans ces festivals, la nourriture est vegan. Je n’hésite pas à dresser un stand, dès que c’est possible (s’il y a de la place). Je l’ai déjà fait en France, en Belgique, aux Pays-Bas, en Suisse et en Allemagne. Je suis amenée à tenir un stand en moyenne au moins une fois par mois.
J’invite les militants à faire de même. Ce n’est pas contraignant car on peut sortir du stand à tout moment. C’est intéressant car ça permet de rencontrer du monde et de donner l’idée à d’autres personnes sensibles à la cause.
Pour me contacter : sonyaserpentina[at]yahoo.fr