Elle est belle la science qui utilise des animaux pour « sauver des millions de gens »…

Voici une énième preuve par l’image de la cruauté et de la perversité sans limite des vivisecteurs.

D’autres photos sont disponibles sur cette page, ainsi qu’un article en anglais qui fait le point sur l’explosion du business de la vivisection en Chine.

Cette expérience menée au Département des sciences de l’animal de laboratoire de l’université de Fudan (Chine) consiste à transplanter des tumeurs cancéreuses prélevées sur des HUMAINS à l’intérieur d’un organisme NON-HUMAIN, en l’occurrence une souris génétiquement trafiquée.

Vous noterez la taille des greffons complètement délirante par rapport au petit corps de la souris et serez sensibles à la douleur que peut induire un corps étranger aussi monstrueux dans le corps de l’animal, chaque tumeur ayant la même taille que sa propre tête.

A titre de comparaison, c’est un  peu comme  si on vous implantait  un ballon de football dans le bas-ventre, et un autre dans le thorax avant de vous administrer des substances hautement toxiques pour tenter de détruire ces mastoses.

D’un point de vue scientifique, il est aisé de comprendre que ce n’est pas en travaillant de cette façon qu’on va progresser en matière de traitement du cancer, fléau de notre société contemporaine.

En effet, l’animal utilisé (tout comme aucun autre animal) n’est en rien un modèle pour l’être humain.

Le directeur de l’Institut National du Cancer aux États-Unis a lui-même expliqué que « L’histoire de la lutte contre le cancer a été basée sur la guérison du cancer sur la souris… Nous avons guéri des souris du cancer pendant des décennies et cela n’a tout simplement pas marché sur les humains. »

Mais au-delà de ces considérations, qu’est-ce qui donne à ces personnes qui prétendent avoir une responsabilité morale et sanitaire le droit de traiter des êtres conscients et sensibles de cette façon ?

Qui peut encore être assez naïf pour croire qu’infliger artificiellement des pathologies (et la souffrance associée) à plus de 800 millions d’animaux sains chaque année dans le monde va permettre d’ôter la souffrance à des êtres humains malades ?

Les « scientifiques » qui utilisent des animaux considèrent abusivement que le grand public ne peut pas comprendre et entretiennent l’espoir des malades et de leur famille non sans un certain cynisme afin que les dons continuent d’affluer.

Les politiques leur accordent toute latitude en fermant les yeux sur leurs pratiques, pire en leur donnant les moyens financiers et institutionnels d’aller toujours plus loin dans leur folie, au prétexte de soigner les humains quel qu’en soit le prix à payer par les animaux, ces derniers ayant pourtant, tout comme nous, le droit fondamental à vivre pour eux-mêmes, n’en déplaise à ceux qui les exploitent si cruellement.

Il ne faut pas craindre de s’opposer avec la plus grande fermeté à ces pratiques, même si l’on n’est pas scientifique, car, comme dans le cas de l’industrie nucléaire civile qui confie aux générations futures le soin de gérer les déchets radioactifs d’aujourdh’ui, il n’est pas possible dans une démocratie comme la nôtre de laisser quelques inconscients carriéristes et avides de reconnaissance se comporter en de tels barbares.

Vous avez votre mot à dire car la neutralité aide toujours le bourreau, jamais la victime !

  • Faites connaitre à votre entourage cette imposture qu’est la vivisection
  • Mobilisez-vous concrètement en participant aux actions de sensibilisation sur le terrain
  • Laissez des commentaires à la suite des nombreux articles faisant l’éloge de la vivisection sur Internet
  • N’achetez que des produits cosmétiques et ménagers de marques ne testant pas sur les animaux
  • Soyez vigilants lorsque votre générosité est sollicitée : ne donnez pas votre argent aux œuvres qui prétendent aider à rechercher des traitements contre le cancer, les maladies neuro-musculaires, neurodégénératives, le SIDA… mais qui en réalité financent massivement la vivisection. Croyant bien faire, vous financez le martyre des animaux dans les laboratoires et vous desservez la véritable science.

C’est à VOUS, en tant que citoyen responsable, qu’il revient d’exiger une science véritablement éthique (méthodes de substitution sans animaux) et de faire cesser l’inacceptable, sans aucun compromis.

Ne rien faire, c’est laisser faire !

 

 

 

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