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L’association Oïkos Kaï Bios a organisé  une action de sensibilisation à Annemasse dans le cadre de la campagne Stop aux Animaux dans les Laboratoires d’Expérimentation, annoncée par les trois journaux locaux (articles): le Faucigny, le Dauphiné Libéré et  Le Messager (voir album-photos ). Ce dernier  a largement annoncé notre action : « le combat d’Oïkos Kaï Bios qui veut arrêter l’expérimentation animale ».

Samedi d’automne à la température clémente, très peu de passants en début d’après midi.

Une femme, d’abord, accepte notre invitation à venir sur le stand. Elle signe d’emblée notre nouvelle pétition « pour une utilisation publique de l’argent public » téléchargeable ici. Bon présage car cette pétition va recueillir plus de 40 signatures.(voir photos). Ensuite, quelques passants, peu s’arrêtent….

Puis, un couple. Elle, signe pour la défense des chats de Neuchâtel. Le passage aux pétitions contre l’expérimentation animale est plus délicat. Lui nous interroge : vous êtes donc volontaire pour tester les médicaments ? etc. A nos allusions à la nouvelle directive européenne (on pourra, au nom de la science, faire souffrir des animaux), il rétorque qu’il n’est pas possible que ce soit écrit dans le texte.

Pour information, page 40 du document, on peut lire :

« Un animal susceptible d’éprouver de la douleur lorsque l’anesthésie a cessé de produire son effet reçoit un traitement analgésique préventif et postopératoire ou est traité au moyen d’autres méthodes appropriées pour soulager la douleur, pour autant que cela soit compatible avec la finalité de la procédure. »

Aucune discussion ne sera possible, ils repartent avec leurs certitudes sur la nécessité d’expérimenter sur les animaux.

Enfin, après deux heures plutôt calmes, une femme et son fils viennent pour signer « toutes nos pétitions ». Ils ont vu l’article du Messager. Ils repartent avec la documentation…..et ont promis de revenir pour la JIDA en décembre. Ce sera le début d’une fréquentation constante du stand et bien au-delà de l’horaire prévu.

A part un groupe de lycéens déjà très formatés : il est nécessaire d’expérimenter sur les animaux », les échanges seront très cordiaux et les gens satisfaits de voir un stand dédié aux animaux dans cette allée marchande.

Plusieurs ne savaient pas que les produits d’entretien étaient testés sur les animaux, la liste et les recettes ont eu un grand succès. Chacun peut agir au quotidien contre l’expérimentation animale en faisant le choix des produits non testés sur animaux.

Beaucoup ont apprécié notre nouvelle pétition, l’argent public subventionne des pratiques qui devraient être abolies. Nous avons expliqué notre démarche : les lettres aux ministres dont les questions sur la part allouée aux méthodes alternatives, les réponses qui n’arrivent pas….et pour cause puisque les fonds vont vers l’expérimentation animale !

Quelques 170 signatures ont été recueillies pour les pétitions proposées dont celles  téléchargeables sur le site IC ici et 10 lettres seront envoyées à Madame Valérie Pécresse.

Nous avons senti un réel soutien et constaté beaucoup de gentillesse, du respect pour les animaux. Ce fut une action très encourageante.

Prochaines actions : pour la JIDA 2010.

Contact : oikos.kai.bios[at] orange.fr

Action organisée par Oïkos Kaï Bios à Annemasse le 08 octobre 2010 dans le cadre de la campagne Stop aux Animaux dans les Laboratoires d’Expérimentation et à l’occasion de  la Journée Mondiale des Animaux.

Ce matin de marché, s’il y a encore quelques bruits de pelle mécanique sur le chantier du parking, la circulation des piétons se fait à nouveau sur le parcours qui mène facilement au Passage Bleu. Ainsi, plus de monde est passé à proximité de notre table d’information.

Trois personnes sont venues grâce à l’annonce du Dauphiné (voir articles) et à notre affichage (voir photos). Les documents laissés au magasin bio du centre ville et à la bibliothèque municipale sont donc bien lus, cela nous convainc que cette distribution est utile. L’action avait aussi été annoncée sur le panneau lumineux de la mairie (voir photos).

Plusieurs personnes se sont volontiers arrêtées, dont  :

• Un agent de sécurité très attaché à son chien

• Une personne qui travaille en animalerie, nous lui avons rappelé combien d’animaux attendent un maître dans les refuges

• Une femme qui va apporter son aide au refuge voisin

• Une autre qui cherchait à donner du temps pour les animaux

Il y a eu plusieurs discussions très animées dont la colère de cette femme contre les mannequins qui portent de la fourrure jusque sur leurs chaussures. Plusieurs personnes s’approchaient alors et signaient une ou deux pétitions.

Une femme était sur le point de signer, tout en avançant la nécessité des expériences sur les animaux…puis elle a voulu voir d’autres pétitions. Nous lui avons montré celle « pour des mercredis et dimanches sans chasse ». Elle s’est alors écriée ; « mais quand les chasseurs pourront-ils chasser ? »… tuer peut-il être un loisir…la femme est repartie sans rien signer, trouvant nos positions trop radicales.

La liste des produits non testés et les recettes pour fabriquer ses cosmétiques ont eu beaucoup de succès, les autocollants et les badges aussi.

152 signatures ont été recueillies pour les 26 pétitions proposées, dont celles  téléchargeables sur le site IC ici.

Prochaine action à Annemasse le 06 novembre.

Contact : oikos.kai.bios[at] orange.fr

Bilan Annemasse 21 mai 2010

Table d’information d’Oïkos Kaï Bios ce 21 mai 2010 à Annemasse pour l’action « Vivisection = S.A.L.E. Nettoyez sans cruauté ! » annoncée dans le Faucigny ici et là .

Si la 1ère heure fut difficile (peu de gens sensibles aux problèmes des animaux), la suite nous donna des raisons d’espérer. Beaucoup se déclarèrent hostiles à l’expérimentation sur les animaux, avec les conséquences que l’on connaît pour la santé.

Plusieurs personnes ont été très intéressées par la documentation, dont la liste des produits non testés sur animaux ainsi que les « recettes » Une famille ne voulait pas s’arrêter : on a des difficultés, on ne peut pas….car ils craignaient d’être sollicités pour un don ! Quand ils ont vu que nous ne demandions qu’une ou deux signatures aux pétitions, ils se déclarèrent soulagés : en plus, ils repartaient avec des recettes et des informations…

Puis un groupe de quatre femmes a investi la table. Elles ont signé toutes les pétitions dont celles proposées ici.

Extrêmement motivées à défendre les animaux, elles ont apprécié le relais de pétitions d’associations auxquelles elles adhéraient.

D’autres se sont joints, dont une sympathisante de l’association, et une femme a déclaré : nous devrions nous réunir pour échanger. Elle a laissé son adresse…et toutes sont reparties avec autocollants, badges, documents dont celui sur les laboratoires en Israël pour afficher dans leur immeuble.

Plusieurs avaient vu l’émission de France 3 sur l’eau et n’ont pas manqué de faire le lien avec la maladie d’Alzheimer. Les efforts d’information que font quelques journalistes (sujets récents sur l’eau, les pesticides, les OGM) doivent être salués, nous avons espéré que l’expérimentation animale soit aussi dénoncée…

Au sujet de l’objection de conscience, deux personnes avaient dans leur entourage des étudiants en médecine très dérangés d’avoir à expérimenter sur les animaux : le message devrait être transmis pour d’éventuels témoignages. Nous espérons qu’ils contacteront IC.

Un autre discussion s’est engagée sur le point de vue abolitionniste : quand on lutte contre l’expérimentation animale, est-ce que l’on peut continuer à manger de la viande…

Matinée militante animée, où nous avons été largement encouragés dans nos diverses actions dont  les signatures de pétitions et la lettre au ministre de la Recherche Valérie Pécresse : 12 exemplaires imprimés au verso de l’argumentaire de Kellie Heckman ont dû arriver sur son bureau.

Plus de 270 signatures recueillies pour les diverses pétitions, dont 38 contre l’expérimentation animale au Biopark d’Archamps.

Contact :  oikos.kai.bios[at] orange.fr

Samedi 27 février,  le « Jardin d’Anthyllis » à Annemasse accueillait l’association Oïkos Kaï Bios à l’occasion de la Journée Internationale d’actions pour mettre fin aux expériences sur les primates en Europe.

Notre action a été annoncée dans le Dauphiné libéré du vendredi 26 février.

Nous étions là un moment le matin ainsi que l’après midi. Ce magasin proche du siège de l’association est un lieu que nous apprécions : la mobilisation est grande quant il s’agit des animaux. Nos pétitions ainsi que nos prospectus sont toujours accueillis avec gentillesse. Nous nous réjouissions de ce moment à passer au milieu des pierres et des senteurs.

Deux petites tables, une chaise pour signer plus confortablement, l’hôtesse nous a fait l’honneur d’une tasse de thé….et les conversations se sont enchaînées.

L’après-midi a été particulièrement animée, une personne est venue grâce à l’annonce du Dauphiné libéré  , une autre par nos prospectus diffusés sur le marché. Sans oublier nos sympathisants qui ne manquent pas de se déplacer pour nous soutenir, merci pour leur fidélité.

Plusieurs étaient convaincus et ont signé sans autre, d’autres étaient satisfaits d’avoir des explications et soulagés qu’il existe des méthodes alternatives : ils ont signé aussi, soucieux qu’une évolution significative ait lieu.….même si les enjeux politiques, financiers…etc. n’aident pas.

Notre démarche les a engagé à nous soutenir, l’un d’entre eux s’est même souvenu qu’une de ses petites filles avait eu droit à une séance de dissection et qu’elle en avait été choquée. Comme nous allons revoir cette personne pour des problèmes d’arbres et de pollution, ce sera l’occasion d’en savoir un peu plus (l’établissement, le nom du professeur…). La dissection à l’école est pour tous ceux qui luttent contre la vivisection une aberration quand on peut voir des films, ce qui distancie par rapport à l’animal. C’est aussi un formatage des esprits à la soi-disant «nécessité d’expérimenter sur les animaux ».

Nous avons eu la visite impromptue et toujours appréciée de la journaliste du Dauphiné Libéré. Cette présence assez régulière est précieuse pour la défense des animaux, nous remercions le journal pour le suivi de nos actions.

Le chemin du magasin a été aussi l’occasion de rapporter d’autres signatures, le temps assez clément s’y prêtant.
Nous avons recueilli 70 signatures pour les diverses pétitions dont

et distribué  plusieurs exemplaires   « Un mauvais investissement » et Primates. 

9 lettres seront sans doute envoyées au ministre de la Recherche Valérie Pécresse  imprimées au verso de l’argumentaire de Kellie Heckman

Contact :  oikos.kai.bios[at] orange.fr

Reprise « en douceur » des activités d’Oïkos Kaï Bios auprès du public pour cette année…le thermomètre affichait  – 7 °C à 9 heures, un peu plus en fin de matinée lors de notre sortie sur le marché.

Plusieurs amis des animaux étaient au rendez-vous, et c’est de l’espoir pour les animaux de laboratoire :  si une bonne partie de la visite du marché un peu déserté s’est faite sous la neige, quelques passants ont volontiers signé et même partagé diverses préoccupations sur le sort des animaux malgré les flocons et le froid.

Une femme est partie avec une feuille de notre pétition à faire signer par ses amis et tous ont vivement espéré que notre action aboutisse.

Une vingtaine de documents ont été bien accueillis dont celui concernant les primates et « La vivisection : un vrai fléau ».

Une trentaine de signatures ont été récoltées pour les pétitions proposées dont la pétition contre l’expérimentation animale au Biopark d’Archamps et
12 lettres devraient arriver sur le bureau du ministre de la Recherche Valérie Pécresse imprimées au verso de l’argumentaire de Kellie Heckman

Notre action « Deux cents lémuriens au Biopark d’Archamps, combien à Marseille ? »  a recueilli à ce jour plus de 14 300 signatures dont  4970 pour notre pétition à signer en ligne   (nouveau lien depuis janvier)

Prochaine action : le 27 février au magasin Le « Jardin d’Anthyllis » à Annemasse.

Contact : oikos.kai.bios[at]orange.fr

Une action contre l’expérimentation animale accompagnée d’une action contre la fourrure a été organisée par Oïkos Kaï Bios.

Ce premier type d’action plus spécifique contre l’utilisation des animaux pour se vêtir a été annoncé largement dans le Dauphiné Libéré, sur les panneaux lumineux de la ville ainsi que dans Le Faucigny. Nous avons eu la visite de deux journalistes pour ce premier stand de l’année. Voir l’album-photos.

Si ce samedi de vacances a amené peu de gens en ville, certains étaient venus volontiers nous rencontrer : une vétérinaire avait spécialement parcouru plus de 20 km, elle a promis d’afficher l’appel à manifester le 23 avril contre l’expérimentation animale dans l’un des cabinets où elle travaille (le programme était imprimé au verso de nos  prospectus).

Une vingtaine de signatures ont été recueillies contre la fourrure, et une soixantaine au total.

Nous avons distribué la liste des enseignes nationales ayant fait le choix de supprimer la fourrure véritable de leurs collections, ainsi que quelques lettres à envoyer au Ministre de la Santé, disponible ici.

Cette première expérience d’un stand contre la fourrure s’est montrée très positive. A renouveler, donc.

Prochaine action : Journée Sans Viande vendredi 18 mars, le matin au moment du marché. L’action est d’ores et déjà annoncée dans le Messager du 3 mars.

Contact :  oikos.kai.bios[at] orange.fr